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Digital sobriety for a greener IT

Published on February 8th, 2022

La sobriété digitale est une démarche qui vise à réduire l’impact environnemental du numérique. Proposé par The Shift Project, cette démarche cherche à maximiser les effets positifs du numérique et à minimiser ses effets néfastes. Il encourage l’utilisation d’Internet et des technologies de manière plus consciente et responsable.

Nous savons pertinemment que la numérisation mobilise des ressources essentielles pour la transition énergétique. L’appropriation progressivement démesurée de l’électricité disponible accroît la tension sur la production d’électricité, que l’on peine déjà à décarboner. L’augmentation de la production d’équipements pour les Technologies de l’Information et de la Communication nécessite des quantités plus importantes de rare and critical metals, which are also vital for low carbon energy technologies, while physical, geopolitical, and economic factors already limit their availability.

Les raisons de la forte croissance de la consommation d’énergie numérique sont multiples, mais on peut, sur la base d’une première analyse, identifier quatre sources principales :

  • The smartphone phenomenon
  • The multiplication of the peripherals of daily life
  • L’essor de l’Internet Industriel des Objets
  • L’explosion du trafic de données.

As digital objects and interfaces have become part of every aspect of our lives in the last few years, digital transformation appears to be crucial in shifting towards a low carbon economy.

In its Lean ICT Report, the Shift Project propose quatre leviers d’action pour mettre en place la sobriété numérique dans une entreprise :

  • Lengthening the life of professional devices
  • Increasing the Bring Your Own Device share of business smartphones
  • Favoriser l’échange de documents bureautiques sur une plateforme mutualisée
  • Mise en place d’indicateurs opérationnels

À ce stade, notre croissance numérique n’est pas durable. Selon le 2020 Executive Summary of The Shift Project, nous faisons face à une augmentation annuelle de 9% de la consommation d’énergie due à la numérisation. En mettant en œuvre la suffisance numérique, c’est-à-dire en passant d’un usage compulsif à un usage plus maîtrisé des systèmes numériques, nous devrions nous diriger vers un impact plus durable des technologies numériques d’un point de vue environnemental.